Pension Lutwidge
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L'éternité, c'est long, surtout vers la fin.
 
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 [Fiche] Les plus belles histoires commencent par il était une fois, alors, il était une fois, la fille du boulevard...

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2 participants
AuteurMessage
Amandine Machin

Amandine Machin


Messages : 8
Date d'inscription : 07/03/2010
Localisation : sur son Boulevard ou dans son Appartement Froid
Particularité : Régération des cellules
Humeur : déphasée.

[Fiche] Les plus belles histoires commencent par il était une fois, alors, il était une fois, la fille du boulevard... Empty
MessageSujet: [Fiche] Les plus belles histoires commencent par il était une fois, alors, il était une fois, la fille du boulevard...   [Fiche] Les plus belles histoires commencent par il était une fois, alors, il était une fois, la fille du boulevard... Icon_minitimeDim 7 Mar - 0:37

PERSONNAGE.
  • NOM /
  • PRÉNOM /
  • AGE RÉEL : Environ 23 ans
  • AGE CONSTANT : le 11 novembre 2008 elle avait 21 voire 22 ans. Elle a toujours 21 voire 22 ans.
  • PARTICULARITÉ : Régénération des cellules.

  • HISTOIRE :L’immeuble va s’envoler. Je le sais. Comme dans un conte il va se déraciner, et volé. Et la jeune fille, penchée à la fenêtre, le sais aussi. Elle-même va s’envoler, penchée si dangereusement à al fenêtre. Ses cheveux fouettent le vent. Des bourrasques frappent l’immeuble violement, mais tant pis, elle, elle regarde en bas. Plusieurs étages plus bas. Des gens crient, des gens hurlent, elle n’aime pas quand les gens s’agitent. Elle en fait des crises d’angoisse.

    Le bruit l’appelle à se cacher dans un coin. Un coin sombre, à fermer les yeux, et à se balancer. Elle a peur de trop de bruit, de bruits trop fort. Et là, en bas, ils hurlent contre le vent. Elle ne sait pas qui de l’élément ou de ces fous fait le plus de raffut. Elle surveille. Comme si sa présence pourrait changer quelque chose. Et, en attendant, l’immeuble rêve de se laisser pousser des ailes. Même la radio grésille sur des tubes de rock. Elle, elle était à l’abri là-haut. Mais en peu de sûreté la fenêtre ouverte. Drôle de contraste. Elle pourrait s’écraser au sol. On ne sait jamais avec un tel vent tout part en l’air.

    Mais elle rêvait à tout vent. Elle a toujours rêvait. Elle s’est appelée de toutes les manières qui plaisaient. Elle a fini par ne plus être personne. Elle est devenue une ombre. Juste une ombre, un halo de fumée, quelque chose d’à moitié existant. Elle n’avait plus qu’une appellation propre, une appellation qui lui permettait de respirer par elle même. Qui lui créait une histoire, une identité. Un surnom, ce n’est pas encore très précis, mais c’est un début, un début de vie. Une preuve d’existence. Elle était « La Fille du Boulevard ».

    Et La Fille du Boulevard était persuadée d’être née quarante ans trop tard. Elle aurait voulu être là quand les grandes villes n’étaient pas si dangereuse, quand la vie se laisser doucement découvrir, quand les vagues musicales arrivait au lieu d’être déjà instaurée. Elle aurait aimé se faire une culture, pas comme on fait maintenant. On vous assoie, on ne vous parle plus, tout n’est plus qu’une illusion, même les mots.

    Elle, elle rêve. Rêve de liberté. Elle voulait danser et hurler au gré du vent, l’imiter, imiter ces fou criant plusieurs étages plus bas. Elle voulait sauter, et s’envoler. Comme l’immeuble.

    Puis s’écraser. S’écraser comme elle avait l’habitude de faire. Ombre qu’elle était. S’écraser contre le mur, se fondre sur le trottoir, se tenir loin des lampadaires lumineux. La Fille du Boulevard sortait de nuit. Toujours. Elle était habillée en noir, tout bêtement. Elle était habillée vulgairement, avec des talons et des t-shirt. Elle se sentait ridicule parce que les gens lui disaient qu’on ne mettait pas de T-shirt au mois de février. Mais elle avait chaud, elle, sur son boulevard. Les phares des voitures se reflétaient dans ses yeux, ils illuminaient sa peau, ces étincelles faisaient un peu de chaleur. C’étaient les seules étincelles qu’elle connaissait.

    Cette fille là fredonnait en arpentant son boulevard « Elle fréquentait la rue Pigalle », un air d’Edith Piaf. Et elle marchait. Marchait. Le soir, elle faisait ça, elle n’y restait jamais tard. Les gens circulaient encore. Ils sortaient, pressés, des grands axes marchands aux alentours, le moteur des voitures vrombissait. Et pourtant, ces bruits là ne l’effrayaient pas. Ses talons à elle faisaient autant de bruits que tout ça. Et la chanson qu’elle fredonnait la faisait se concentrer. Mais le bruit de la rue, bourdon incessant, ne la dérangeait pas. On aurait presque dit un silence cette longue plainte. Mais au premier cri, elle s’enfuyait.

    Mais pour l’instant, tous les soirs où elle ne rêvait pas d’évasion dans son appartement. Elle semblait sortir de nulle part et arpentait le trottoir. Pas n’importe lequel, celui du boulevard. Elle semblait infatigable, toute vêtue de noir. C’était beaucoup fréquentait, par bien des gens, tous différents. Il y a trop de gens différents de toute façon…
    Mais tout aussi différent que les gens sont, ils la prennent tous pour ce qu’elle n’est pas. Tous la regardent de l’œil morne ou de l’œil écœuré de ceux qui voient passer une prostituée aux heures de pointe. Mais tous se trompent. Elle est juste là, à marcher avec son déhancher, pour oublier. Oui, oublier. C’est pour ça que même en Février elle tente d’avoir froid. C’est pour ça qu’elle se plonge dans le vent, à sa fenêtre. C’est pour ça qu’elle reste des heures sous la pluie froide. Pour oublier. Elle espère que toutes ces morsures la rendront amnésique. Son chant venu de Pigalle lui occupe l’esprit. Le bruit de ses talons aussi. Comme ça, elle n’y pense pas. Elle oublie que personne ne l’attend au pied de son immeuble. Elle ne pense pas que personne ne sera devant la porte de son appartement. Elle n’imagine pas qu’il sera là ce soir.

    Dans son petit appartement vide et froid, exposé à tout vent (elle ouvre grand toutes les fenêtres). Elle s’ennui. Sans lui. Avec ses douches froides. Elle est seule. Alors elle écrit. Elle écrit des lettres. En anglais, en Français, en Russe, en Roumain, en tout ce qui lui passe par la tête. Elle écrit. Ses lettres sont adressées à une Alice.W. Le lieu est Wonderland. Et elle les envoie from : La Fille du Boulevard. Inlassablement. Tantôt ce sont des paroles de chansons, tantôt des phrases d’un livre. Parfois elle parle de minuit, de rêves, de vœux. D’un monde qui n’existe pas. Parfois même, elle dit qu’il va revenir. Elle l’écrit noir sur le papier blanc. Les papiers volettent grâce aux courants d’air mais elle s’en moque bien. Ce qui compte c’est son imaginaire, ce sont ses lettres qu’elle postera demain. Elle les postera oui, des lettres blanches, sans timbres ni adresse. Toujours elle se demande si elles arrivent quelque part. Mais jamais, elle ne le saura.

    Sur ce boulevard où les gens la regardent, elle n’est personne. Sous la pluie battante, elle n’est personne. Dans son habillage noir, coloré par les phares des voitures elle n’est personne non plus. Pas comme dans ses bras à lui où elle existait vraiment. Elle cherche à devenir poussière, à se languir. Loin de son souvenir, de lui.

    Sur ce boulevard, à l’attendre ainsi. A attendre sa peau, sa présence, son sourire, ses yeux... Ou à attendre l’oubli, l’oubli de son parfum, l’oubli de sa bouche, l’oubli de ses mains… Elle deviendra pierre. Comme dans les contes, où l’attente se fait tellement longue, que vents, pluies, ne pourront plus l’atteindre, elle sera statue. Statufiée sur ce grand boulevard.

    Où, des fois, des gens lui parlent, l’interpellent. Et ça résonne dans sa tête, ces interpellations, ça fait peur. Alors elle presse le pas, son cœur battant fort sous son décolleté noir. Elle fredonne un peu plus fort et ses talons claquent un peu plus vite. Elle s’enfuit dans une ruelle et atterris sous son immeuble. Elle a toujours, toujours peur qu’on la suive. Même si, quand on la suit ça ne fait pas bruit, elle a peur de ça aussi.

    Et une fois sa fuite achevée, qu’elle lève le nez, elle voit l’immeuble vertigineux. Dans sa fuite elle l’a oublié. Mais maintenant qu’elle est en bas. Elle réalise qu’il n’y a personne. Qu’il n’y aura plus jamais personne. Alors, elle rentre dans le bâtiment, mais l’espoir se bat contre sa raison. Elle se dit qu’il apparaitra. Et elle se dit aussi que, demain soir, elle retournera sur son boulevard.

    C’était comme ça sa petite vie. Une petite vie vide. Elle était une statue. Elle était une ombre amoureuse d’un fantôme. Il lui avait dit, pourtant, qu’il reviendrait. Mais elle n’y avait jamais cru. Il ne faut jamais faire confiance aux hommes. C’est tout. Jamais. C’est une règle de survie. C’est c’qu’elle disait la chanson aussi. Elle disait tellement de choses la chanson.

    C’t’ait donc ça La Fille du Boulevard, une gamine terrorisée qui avait grandit trop vite. Un animal blessé. Alors elle marchait. Elle pouvait soigner les peines. N’importe qu’elle peine. En un coup de baguette magique elle soignait tous les maux. Rien qu’avec une bonne dose de bonne volonté elle régénérait les cellules. Elle ne savait trop comment. Elle soignait tout. Comme ça. De ses mains, de ses doigts. Les blessures disparaissaient.

    Mais jamais elle n’a pu soigné un cœur déchirée, une peine sentimentale. Rien. Nada. Il fallait continuer à souffrir de l’intérieur. Elle ne guérissait pas les peines mentales, psychiques. Et c’est tout ce dont elle avait besoin. Elle ne demandait que ça, un remède. Mais cela s’avouait impossible à obtenir.

    Alors elle continuait à voguer, contre les éléments, avec espoir et percussions. Pendant ce temps, durant toutes ses promenades, durant toutes ses longues journées à écrire en noir sur du papier blanc. On se tenait bien au courant de sa vie, et elle en était consciente. Il y a un temps, le gouvernement s’occupait fort bien de son don. Lui faisant signer un papier comme quoi elle ne pourrait agir qu’à des fins militaires. Expériences, ou on l’enverrait au combat soigner les blessé. Qui sait ce que représentaient leurs desseins ? Mais elle ne trouve qu’à répondre. « Ne vous en faîte pas. Ce don, je ne m’en sers pas. Il est vrai ? A quoi me sert-il ? Puisqu’il ne répare pas mon cœur meurtris »

    Mais ce soir là, qui était un soir comme tous les soirs, où elle traînait sur le boulevard. Ces hommes arrivèrent vers elle, doucement. Ils étaient deux, ils avaient un air grave. Elle prit peur. Son premier réflexe fut de s’enfuir. Ils ne commirent pas la faute de l’interpeler, de crier. Ils lui donnèrent un nom choisit au hasard. C’était « Scarlet » cette fois ci. Et elle se retourna. Elle savait que n’importe quel prénom était le sien. Ils le savaient aussi. Elle vint à eux.

    Et c’est comme ça qu’elle se retrouva ici, dans ce pensionnat dont elle ne voulait pas. Ils l’avaient réquisitionné pour le poste d’infirmière dans ce nouveau centre pour adolescents étranges. Elle n’y est pas à son aise. Elle y pourrit depuis novembre 2008. Elle continue d’écrire ses lettres, ses si belles lettres. Mais elle a peur qu’on les lui pique, qu’on les lise. Qu’on découvre ses secrets, sa folie. Ses lettres sont toujours signées « La Fille du Boulevard », même si ici, maintenant, on a fini par lui donner divers prénoms, ça reste sa vraie identité comme elle l’a décrété. Elle regrette son boulevard, les phares des voitures. Parfois, elle croit s’y promener encore. Dans les long couloirs, lorsque la lumière est éteinte. Dehors, dans le parc, le soir, elle s’y promène. Elle s’imagine des clochards à droite, une mère de famille à gauche. Des gyrophares de voiture de police. Et il n’y a aucun bruit.

    Même infirmière, elle est en noir, sans manche, avec des talons, elle renie l’uniforme, donc la blouse blanche. Dans une lettre elle l’explique. Elle se défend en disant que lui, il aimait bien le noir. Et aussi, dans ses lettres, elle s’inquiète, elle raconte à Alice que s’il revient, que s’il exécute sa promesse, qu’il ne la trouvera pas. Que quand il viendra la chercher et l’enlever pour le Pays des Rêves, elle ne sera plus à l’intérieur de l’appartement. Elle ne sera plus au milieu des courants d’air, couverte d’eau froide. Il viendra la chercher, même ici, demande telle dans ses lettres.

    Le postier a bien tenté de lui expliqué qu’on ne pouvait pas envoyer une enveloppe vierge ainsi. Mais elle lui a expliqué, elle a tenté de lui expliquer, du moins. Alice, elle pourrait quand même lire la lettre, que le pays merveilleux où elle habite reçois toutes les lettres. N’importe lesquelles. Le pauvre homme a fini par accepter de prendre toutes ses lettres. Parfois il tente de la raisonner, mais jamais cela ne marche. Alors il prend la lettre et s’en va avec. La Fille du Boulevard ne s’étonne jamais qu’Alice reste muette à ses lettres. Et c’est un nouveau mystère pour les psychiatres. Est-elle consciente qu’on ne lui répond pas ? S’invente t-elle des réponses ? D’ailleurs, personne ne sait s’il existe, lui, et ses bras si forts, si rassurants. Elle pose beaucoup de questions aux spécialistes, qui la regardent, qui l’étudient, comme tous les autres. Son don lui permette d’être infirmière, mais c’est folle, qu'ils l’ont retrouvé sur son boulevard.


  • DESCRIPTION PHYSIQUE : Quand on a pas de nom. Aucun nom, aucune identité. Rien, presque rien. Qu’on est une ombre. Qu’on est une statue. Qu’on ne vit que dans l’attente. Que dans l’espoir. Qu’on vit dans les courants d’air. Il est dur d’avoir un physique. On en a pas, c'est tout. On sort de l'imaginaire des enfants, des adolescents, on se cache sous les lits la nuit, on se glisse sous la couverture. On peut s'évaporer et finir goutte d'eau sur une vitre de voiture. La fille qui n'a pas de nom est une forme. A croire qu’elle n’existe pas. Et pourtant, toute couverte de noir. Elle est bien là, avec ce noir, ce noir déposé sur ses membres, sur sa peau que l'on ne devrait pourtant pas voir si elle n'existe pas. Elle a des talons, un peu trop hauts, comme son immeuble (à comprendre que les talons ne font pas la taille de l’immeuble, sinon vous êtes un idiot). Elle n’aime pas les manches longues, elles l’étouffent, l’emprisonnent, ils l’empêchent de faire les mouvements qu’elle aime. Donc elle mets des T-shirt, tout le temps. Noirs les T-shirts. C’est comme les jupes, elles ne l’entravent jamais, et ses talons non plus. Ses cheveux sont longs, ils flottent mieux dans le vent, ils la trempe mieux quand elle prend ses douches froides. Elle préfère ça.

  • DESCRIPTION MORALE : Qu’y a –t-il à dire sur son moral ? C’est vrai quoi. Quand on n’a pas de visage, pas de nom, qu’on n’existe pas. Ou plutôt qu'on n'existe PEUT-ETRE pas. Que personne ne se soucis plus de vous car on vous a enfermé dans un pensionnat pour jeune. Que de toute manière, même avant cet emprisonnement, personne ne se souciait de vous. Y a plus rien à espéré, si ? Eh beh, elle si, elle espère, elle pense trop. Mais c’est parce qu’elle est folle, folle d’amour. Un je ne sais quoi l’a rendue folle. Elle se prend pour un oiseau. Et, au pensionnat, elle se demande si, enfin, l’immeuble a pu s’envoler, comme son rêve le voulait. Elle est folle, elle est persuadée que ses enveloppes blanches arrivent quelque part. Elle est persuadé qu’il va revenir. Elle est persuadé qu’il est parti. Elle est persuadée qu’il existe. D'ailleurs, elle s’inflige des châtiments corporels par le froid, sous forme d’eau ou de vent. Ca lui laisse parfois des marques, et les psycanalystes spéculent là dessus. Ils spéculent aussi sur le fait qu'elle s'appelle, elle même, La Fille du Boulevard. Elle est folle, juste folle, et on ne sait pas pourquoi.

  • MUSIQUE : Devine ! /



JOUEUR.
  • SURNOM : Moi nan plus j’ai pas d’surnom précis.
  • AGE : 16 ans
  • OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : Heu… L’appel du squat ?
  • AIMEZ-VOUS LES POMMES DE TERRES ? oui mon seigneur, je viens d'ouvrir une pataterie
  • LE MOT DE LA FIN
    Le [18.10.2008]
    à 18h08

    "Je me suis dis que si on été dans un autre monde,
    je serais vendeuse d'espoir.
    Et le soir, dans ma boutique qui ne ferme jamais je te regarderais accrocher les premières étoiles."
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http://mattc-world.skyrock.com/
Ill'
Mademoiselle Meringue
Ill'


Messages : 109
Date d'inscription : 23/01/2010
Localisation : Sous ton lit.
Particularité : Illusionniste
Humeur : Confuse.

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MessageSujet: Re: [Fiche] Les plus belles histoires commencent par il était une fois, alors, il était une fois, la fille du boulevard...   [Fiche] Les plus belles histoires commencent par il était une fois, alors, il était une fois, la fille du boulevard... Icon_minitimeDim 7 Mar - 1:15

Bon. Tu n'existes pas, mais je te valide quand même xD
No more blablas, tu sais ce que je pense de la beauté qu'est ta fiche, tu peux d'ores et déjà aller voler de par le pensionnat! ( j'ai un trip avec les gens qui volent aujourd'hui )
Bref tu es validée xD
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